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Azemmour or Azamor (Arabic: أز&#1605 ;ور&#820 6;) is a Moroccan city, on the left ba Ambassade de France au Maroc

Azemmour or Azamor (Arabic: أز&#1605 ;ور&#820 6;) is a Moroccan city, on the left ba
Azemmour or Azamor (Arabic: أز&#1605 ;ور&#820 6;) is a Moroccan city, on the left ba 
           www.azemmour.tk
 
Dibaji à la galerie Akwass d'Azemmour)
Un coin de poésie
AKWASS est la toute première galerie d'exposition de la petite ville d'Azemmour, une des plus anciennes villes du Maroc auréolée de légendes et non moins délaissée durant longtemps. Elle semble, depuis quelques temps, renaître sous l'effet d'une embellie qui ne serait pas le fait d'un quelconque lobby. Plutôt, le site traditionnellement connu par le mausolée de Moulay Bouchaïb et de Aïcha Lbahria, est peu à peu retrouvé, revalorisé non sans une forte spéculation immobilière qui frappe la médina anciennement décriée pour être un lieu malfamé où des monuments historiques pourrissent dans l'indifférence générale.
Les taudis tombant en ruines, naguère méprisés, se vendent à prix d'or. Bien avant cette tempête, qui ne profite pas au menu peuple, des peintres, dont Habbouli, Hamidi et Rahoul s'étaient installés dans la ville fuyant le stresse de Casablanca.

Parmi les signes d'embellie de qualité qui feront date il y a cette nouvelle galerie mise en place dans la ville par le plasticien Abderrahmane Rahoul. On y arrive par une ruelle étroite en entrant par la porte principale de la médina, Bab Lmakhzen. Un petit espace qui s'ouvre par une vieille petite porte traditionnelle, rustique bleue fichée de clous. La galerie avait été inaugurée par une première exposition collective des plasticiens issus de la ville, Habbouli, Azhar, Amine, Kalmoun et Dibaji ou fils d'adoption Chaïbia, Rahoul, Zoubeir et Adi. Actuellement la même galerie Akwass abrite, depuis samedi 19 février, l'exposition de Abdellah Dibaji l'un des peintres natifs de la ville d'Azemmour entretenant une relation particulière avec l'estuaire d'Oum Rbii où il avait passé enfance et adolescence face à la lumière qui circule à vol d'oiseau entre eau et terre, là où les eaux de l'océan et du fleuve fusionnent.

L'exposition des derniers travaux de peinture de Abdellah Dibaji est donc la deuxième dans la galerie Akwass. Elle s'inscrit forcément dans la promotion de la nouvelle image de la ville pour laquelle on espère une vraie renaissance qui touche l'arrière-pays rural paupérisé.

La peinture de Dibaji s'inspire, comme le notent les critiques d'art qui l'ont accompagné, de la vie quotidienne ce qui explique son intérêt pour le mouvement, d'où le thème de la foule prétexte pour une peinture essentiellement gestuelle et qui ne cesse d'évoluer à travers d'autres thèmes avec des articulations entre eux ce qui prouve une continuité dans le changement. Une peinture qui se situe dans ce qu'on appelle « la nouvelle figuration ». Cela donne à voir des oeuvres qui jubilent dans l'hésitation entre figuration et abstraction, avec intervention de couleurs vives et très contrastées.

D'emblée les peintures attirent, séduisent par l'orgie des couleurs vives, pures, foncées avec une lumière centrale ce qui trahit une volonté de séduire, terrain glissant avec le piège d'une peinture décorative de technicien coloriste. Pourtant Dibaji se défend de la facilité. Rien de gratuit dans sa peinture, dit-il, car en arrière plan il y a un long travail de construction découlant de sa formation rigoureuse académique qu'il travaille à "déconstruire" ou plutôt désapprendre. Il s'agit en quelque sorte de se débarrasser des connaissances accumulées pour peindre. Comme on dit des poètes anciens qui mémorisent toute la poésie de leurs prédécesseurs pour les biffer de leur mémoire avant de commencer à faire leur poésie propre. Il s'attache à « désapprendre » la facilité technicienne que lui a procurée sa formation rigoureusement académique pour retrouver une spontanéité souhaitée.

Cela équivaut à sortir de la foule des gestes mimés, des sentiers battus où il est si facile de cheminer tant les chemins sont aplanis.

Comme il le dit sa démarche plastique est basée sur la construction. A l'origine il y a le travail, le labeur consistant à construire des formes, dans le respect du modèle et à partir de lui, pour atteindre une perfection. Cela vient de sa formation académique à l'Ecole des Beaux-Arts de Tétouan et l'Académie des Beaux-Arts de Liège où règnent les écoles hollandaise et flamande. Dès lors si le peintre penche vers l'abstraction, sans s'y jeter vraiment, c'est par une profonde conviction ou plutôt par une évolution normale du travail en même temps spontané et réfléchi. Donc rien de gratuit, et l'on est loin de l'artifice. Ce qu'on ressent près de Dibaji c'est une profonde sincérité, une immense foi dans le travail où il s'aménage un coin de poésie.

Saïd Afoulous

Edité le: vendredi 25 février 2005.

l'Opinion
 

Azemmour

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

 

Azemmour (tifinagh: ⴰⵣⵎⵎⵓⵔ, arabe: أزمّور) est une petite ville située à 16 km au nord d'El Jadida et à 72 km au sud de Casablanca, à l'embouchure du fleuve Oum Rabie.

Azemmour est sans doute établi sur l'antique cité d'Azama, cité occupée par les Phéniciens avant de tomber sous les mains des Carthaginois et des Romains par la suite. Sous ces derniers, Azemmour connut une période de prospérité. Le roi Juba II favorisa à Azemmour la pêche à l'alose, poisson qui venait frayer dans le fleuve l'Oum Rabie.

 Histoire

Au VIIe siècle, elle est l'une des principales cités du royaume berbère des Berghouatas avec Anfa, El Jadida et Safi. Sous les Idrissides, Azemmour connut une nouvelle période de prospérité. Moulay Idriss II favorisa la frappe monétaire dans la médina d'Azemmour et y construit plusieurs mosquées. Au XIe siècle, Youssef Ibn Tachfin, le troisième souverain almoravide, s'empare d'Azemmour et y construit des mosquées et une fontaine.

Sous les Almohades, et plus précisément sous le règne de Abd al-Mumin, Azemmour est une cité florissante et celui-ci y construit une belle mosquée et encouragea les gens à vivre à Azemmour. Les Mérinides y construisirent une médersa et une petite fontaine au cœur de la médina au XIVe siècle.

En 1487, Azemmour tomba sous domination portugaise jusqu'en 1541. Estevanico, né à Azemmour aux environs de 1503 fut vendu comme esclave et fut l'un des 4 rescapés de l'expedition de Navaez anéantie sur les côtes de Floride.(relacion de Cabeza de Vaca) Il fut le premier, en tant qu'éclaireur des Conquistadors à découvir et à traverser l'Arizona et le nouveau Mexique.Il fut tué par les indiens

 

Oum Errabiaa

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

(Redirigé depuis Oum er-Rbia)
Oum Errabiaa
Les laveuses de laine
Longueur 600 km
Débit moyen 117 m3.s-1
mesurés à
Surface du bassin 32,000 km2
Régime  
Se jette dans Atlantique
Bassin collecteur  
Pays Tadla, Abda-Doukkala
 Maroc
Cours d'eau - hydrologie

Oum Errabiaa, ou Oum Er R'bia, est le 2e fleuve marocain qui prend sa source dans le Moyen Atlas à 40 km de la ville de Khénifra et à 26 km de la ville de M'Rirt, commune rurale d'Oum Errabiaa. Il est long de 600 km et débouche sur l'océan Atlantique à Azemmour (region de Abda-Doukkala), situé à une altitude de 1240 m. Par son débit non négligeable de 117m³/s, de nombreux barrages (huit) y sont construits, les plus connus sont Bin el Ouidane, construit sur Oued El Aabid, du coté d'Azilal, près de la ville de Beni Mellal et à 120 km de Khénifra ; et le barrage Maachou à l'embouchure de l'Oum Errabiaa. Ce fleuve contribue au développement agricole de la plaine de Tadla et celle de Abda-Doukkala. Les affluents d'Oum Errabiaa sont oued Srou (les principaux affluents sont Oued Chbouka et Oued Ouaoumana). Outre l'Oum Errabiaa, on peut citer Oued Moulouya et son affluent Anesgumir, Oued Grou, affluent de Bouregreg, Oued Ksiksou et Oued Boukhmira.

Sur le plan hydrologigue la province de Khénifra constitue un grand réservoir d'eau par son système hydrologique complexe.

Ces rivières prennent naissance dans la région de Khénifra pour former 3 grands bassins hydrauliques :

  • le bassin d'Oum Errabia [1].
  • le bassin de la Moulouya [2].
  • le bassin de Bouregreg [3].

La contruction d'une série de barrages sur l'Oum Errabia et ses affluents constituera un défi pour le gouvernement marocain, qui veut atteindre son objectif d'irrigation évalué à 1 millon d'hectares sur la totalité du royaume. L'auto-suffisance en matière de production de blé n'est pas encore atteinte.

Sommaire

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Étymologie [modifier]

Selon la tradition orale, la nomination d'Oum Errabiaa, signifiant "Mère du printemps" vient des 40 petites sources (douces et salées, qui alimentent le fleuve). L'autre version mythlogique est que l'Oum Errabiaa a juré de sacrifier par noyade 40 personnes par an, depuis la source jusqu'à l'embouchure. La ville de Khénifra est alimentée en eau potable, par une station d'épuration des eaux du fleuve, d'un goût prononcé.

Le bassin d'Oum Errabiaa [modifier]

  • Superficie.

Le bassin de l'Oum-Er-Rbia est la clé de voûte du réseau hydro-éléctrique et d'irrigation du Maroc, qui s'étend sur une superficie de 35  000 km². L'Oued Oum Er Rbia, d'une longueur de 600 km , prend son origine au Moyen Atlas à 1200 m d'altitude et à 40 Km de Khénifra, puis traverse la chaîne du Moyen Atlas, la plaine du Tadla et de Abda -Doukala, (la Meseta côtière) et se jette dans l'Océan Atlantique à environ 16 km de la ville d'El Jadida (Azemmour).

Le bassin d'Oum Errabia constitue un emsemble de cours d'eau complexe, se concentrant dans la partie du Moyen Atlas ( causse, meseta et le dir), il s'agit réseau fluvial comprenant l'Oum Errabiaa, oued Srou, oued Chbouka. La pièce maitresse du bassin se trouve sur l'axe principal de l'Oum Errabia(Oued El Abid). Ce bassin étant consideré comme un réservoir hydraulique pour une partie du pays, un ensemble de barrages y a été édifié (six).

L'agriculure ne cesse de se développer, particulièrement sur les bassins de Tadla et de Abda Doukala.

Les barrages [modifier]

Les principaux barrages :

Province de Khénifra [modifier]

Le barrage Tanafnit El Borj [modifier]

Le barrage Tanafnit El Borj à 25 km de Khénifra est le 1er barrage hydro-électrique construit au village de Tanafnit, en amont des sources de l'Oum Errabia.

La réalisation du complexe impliquera la création d'un barrage, l'amélioration des infrastructures routières de la région et engendrera des emplois temporaires de l'équivalence de 90.000 hommes-jours.

Situé dans la province de Khénifra, se trouvant à 40 km environ au Nord-Est de la ville de Khénifra, cet aménagement bénéficie d'une importante régularisation naturelle grâce aux sources de Oum Er Rbia qui assurent à l'oued des débits d'étiage particulièrement soutenus.

D'une puissance installée de 2 x 9 MW, l'aménagement de Tanafnit consiste à turbiner les débits de cette source pour les restituer juste à l'amont de l'aménagement hydroélectrique El Borj. (source O.N.E)

Province de Beni Mellal [modifier]

Le barrage Ahmed El Hanssali [modifier]

Le barrage Ahmed El Hansali, situé près du centre Zaouyat Cheikh à 50 km de Kasba Tadla, est un ouvrage en enrochements à masque amont en béton, permettant de créer une retenue de 740 millions de m3, de régulariser 473 millions de m³ et d’obtenir une chute variant entre 51 et 82 m pour la production d’énergie électrique. Sa constuction sur l'Oum Errabia constitue un atout stratégique, sur le plan hydro-électrique et pour l'irrigation de la plaine de Beni Amir (36.000 hectares), outre l'approvisionnement en eau potable. Sa capacité de stockage est de 350 millions m³.

Barrage Aït Ouarda [modifier]

Le barrage Aït Ouarda se situe dans la province d'Azilal sur oued El abid principale affluent de la rivière Oum Errabiaa.

Barrage Bin el Ouidane [modifier]

Bin el Ouidane
Bin el Ouidane

Barrage construit à Ait Aissa prés d'Azilal et de Béni Mellal), sur Oued El ABID grand affluent de l'Oum Errabiaa. Les cours d'eau du bassin sont constitués de l'oued Oum Er Rbia et de ses principaux affluents :Tessaout, Lakhdar et El Abid. ,en aval de la ville de la ville de Khénfra, mis en service en 1954, sa hauteur est de 123m, capacité de retenue : 1,253 Mm3, couvrant une superficie de 6,5 km².

Il permet la mise en valeur de la plaine de Tadla (70 000 hectares de terres fertiles) et contribue au développent agricole du Maroc par la production de betteraves sucrières (150 000 tonnes/an) ainsi que par infrastucture industrielle adéquate (destinée au sucre, au coton, et au lait).

Le barrage hydro-électrique d'Afourer fournit une production en énergie de 600 milliards de kilowattheures, soit les deux tiers de l’électricité d’origine hydraulique du Maroc.

Les barrages Abda Doukala [modifier]

Cette concentration des barrages ci-dessous joue un triple rôle :

  • Irrigation de la grande plaine A'bda et Doukala.
  • Production hydro-éléctrique.
  • Alimentation en eau potable la région de Casablanca


Le barrage sur l'Oum Errabiaa a été mis en service en 1929 et fut le premier barrage constuit au Maroc, conçu dans un but hydro-éléctrique en 1952, il alimentera Casablanca en eau potable.

Voir aussi [modifier]

Liens externes [modifier]


 

azama

Le fleuve béni
Le fleuve béni 

 

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